Dans la Meuse, arbres et ballades en forêt

Dans la Meuse, le fil rouge sera les arbres. Le chemin oscil­lera entre forêts de l’Ar­gonne et vergers des côtes de la Meuse. A l’ombre des chênes, des tilleuls et des mira­bel­liers, voilà à quoi pour­rait ressem­bler l’iti­né­raire du voyage garanti 100% slow travel et tourisme vert.

Dans la Meuse, le fil rouge sera les arbres. Le chemin oscillera entre forêts de l’Argonne et vergers des côtes de la Meuse. Pêche à la mouche, champignons, ballades en âne… A l’ombre des chênes, des tilleuls et des mirabelliers, voilà à quoi pourrait ressembler l’itinéraire du voyage, garanti 100% slow travel et tourisme vert.

Batte­ments d’ailes et cris d’oiseaux. La Meuse pour­rait bien commencer par quelques portraits de sa gente ailée. A Stenay-René­ville, Domi­nique, alias dom.oiseaux, orga­nise de belles ballades pour les passionnés d’ornithologie.

Petite marche à travers champs de malt et houblon jusqu’à Mouzay, où Alain accueille les randon­neurs à la ferme avec chaleur et convi­via­lité. Et pour cause ! En sus de son exploi­ta­tion céréa­lière, il élabore des bières blondes et ambrées dans sa micro­bras­serie.

Ânes, Oiseaux, mouches…

Eau plate à Nixe­ville. A l’ombre des sous-bois, Eric partage sa passion pour la pêche à la mouche, le long des rivières de première caté­gorie. Premier contact avec la forêt d’Argonne. Autour de Cler­mont, de beaux itiné­raires de randon­nées courent entre les arbres. En suivant les ânes d’artgonne, arrivée à Evre en Argonne, où Jacques orga­nise des ballades en âne dans la campagne et des spec­tacles dans sa grange. Petite vitesse et grands douce­ment, c’est ça le slow travel.

La Meuse, des arbres et des gens

La forêt respire. Elle inspire aussi. Chaque année, des artistes se réunissent à Fresnes-au-Mont pour créer des oeuvres d’art le long des sentiers de randonnée. C’est le Vent des forêts, un événe­ment qui tisse des liens entre les artistes, la popu­la­tion, les béné­voles de l’association et… La forêt donc !

Dans la Meuse, l’air pur et le ciel clair se prêtent à l’observation des astres. A Viéville-sous-les-côtes, l’observatoire des Côtes de Meuse, un des plus grands obser­va­toires euro­péens, orga­nise des séances ouvertes au grand public. La tête direc­te­ment dans les étoiles.

La forêt, ça se mange

Qui dit arbre dit cham­pi­gnon. A la ferme de Bislée, c’est la truffe que cultive Marc. Miam. Et pour l’accommoder, Georges, le chef, dispense ses précieux conseils pour sublimer le parfum du roi des champignons.

Qui dit arbre dit fruit. L’Association Régio­nale d’Expérimentation Frui­tière de l’Est préserve les arbres frui­tiers des côtes de Meuse au sein d’un verger conser­va­toire qui vaut le détour. Des variétés que connaît bien Madame Bouchot de Méligny-le-Petit. Dans sa ferme péda­go­gique, elle confec­tionne des confi­tures de fruits rares dont la répu­ta­tion dépasse les frontières.

A Ancer­vile, le milieu change et nous quit­tons les forêts pour l’eau. La Meuse se découvre en canoë-kayak pour un angle de vue diffé­rent qui annonce les lacs et les clai­rières de la Haute Marne.

Pour un tourisme vert et feuillu, les forêts de la Meuse nous réservent quelques moments savoureux !

Décou­vrez tous les carnets de voyage dans la Meuse sur la page Grand-Est de mes voyages en France.

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